Dans quelques jours, le 12 plus précisément, c'est le "vrai" commencement avec la publication du premier chapitre. Le prologue est là depuis un certain temps mais difficile de beaucoup en parler, court et un poil « détaché » de l'histoire principale (ce qui ne signifie pas qu'il n'a pas son importance). C'est souvent le cas avec un prologue, et c'est ce qui rend les prologues un peu trop tricheurs pour permettre de se faire une idée de ce qu'il se cache vraiment derrière.

Et puis, avant, il n'existait pas et n'était pas prévu. Il concernait d'ailleurs tout un aspect du texte qui est venu m'embêter, décaler tous mes plans, faire s'effondrer à peu près... tout xD

Je n'ai malheureusement pas gardé trace de la date de naissance des Cinq Lions (mais si, c'est intéressant) pourtant dans mon esprit ça se passe à peu près au printemps 2011. L'idée d'origine se résume facilement : Murano + souffleur de verre + interdiction mais forte envie de sortir de là. Et puis s'est pointé un personnage principal qui était encore un étranger, et voilà sur quoi se basaient les premiers chapitres - et, hypothétiquement, sur quoi devraient se baser la suite et puis la fin.

Il a VITE fallu me rendre à l'évidence que ça ne collait plus et faire de la place à d'autres choses. Sans forcément gommer le trio gagnant Murano + souffleur + etc etc mais en le remettant un peu à sa place. J'ai essayé de continuer sur ma lancée mais... non, stoppez les machines, retour à la case départ avec cette fois un prologue. Il a fallu revoir en profondeur la suite du texte. Mais contre toute attente les deux premiers chapitres ont beaucoup moins souffert que le reste. Ils n'ont quasiment pas changé (Murano + souffleur + etc etc) et, toute pourrie que cette première version ait pu être par la suite, j'étais contente de pouvoir conserver un petit écho de ce qu'a été l'histoire avant cette très sévère réécriture de l'intrigue.

Donc ? on peut dire que le premier chapitre c'est le début de l'histoire à deux niveaux : c'est là qu'on entre un peu plus dans le vif du sujet. Et puis c'est le vestige d'un autre texte qui n'a plus que quelques points communs, mais débutait curieusement pareil et portait tout aussi curieusement le même nom (... que c'est beau)

Allez, assez de blablatages indigestes et rendez-vous le 12 septembre pour les plus courageux !