Les débuts de Paradis... ont un parfum de pure fuite en avant. Une intrigue en pointillé, un prologue tapé directement sur le CMS... Rien de bien sérieux. Je ne savais même pas véritablement où j'allais. Je le sais un peu plus, mais juste un peu. Je ne connaissais même pas les webséries (ni le terme, ni la notion). Le premier épisode a été conçu de façon très visuelle, pour ainsi dire cinématographique, du moins le début. J’imaginais véritablement chaque scène comme les plans d'un film que je visionnais dans ma tête.

Et puis ensuite, il y a les premiers pas de Lock. Philip Gibson Lockhart (Philip Gibson en hommage à l'écrivain de cyberpunk, j'assume !). Dans ma tête, il ressemble un peu à Alec Baldwin. Pas le has been de maintenant, mais la star sexy d'il y a... vingt ans ? Je pense qu'il faut avoir mon âge pour comprendre.

Lock, bon officier, flic tenace... tête de lard... et pas le plus perceptif dans le domaine des relations humaines. Je l'aime bien mais j'ai parfois un peu envie de lui dire ses quatre vérités ! Mais je sais qu'il ne m'écoutera pas avant un bon paquet d'épisodes. ;)